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Je suis papa :)
J’ai 3 enfants : Gaspard, Vadim, Barthélémy, 3 garçons agréables et plein de vie.

Même lorsqu'ils étaient petits,
il m’importait qu’ils participent, au moins un peu, aux tâches de la famille.
Notamment mettre la table,
débarrasser la table.

C’est mignon.

Oui mais,
quand je voulais utiliser l’éponge avec laquelle ils ont nettoyé la table,
je les trouvais… moins mignons :)

Ben oui,
je ne sais pas les vôtres,
mais mes enfants faisaient le débarrassage,
mais pas le nettoyage de l’éponge.

Ils abandonnaient l’éponge imprégnée de miettes, sauces, liquides et autres résidus.

Beurk !

Il fallait la nettoyer
c'est à dire retirer le plus de résidus possibles,
puis l'essorer une première fois,
la rincer,
l'essorer à nouveau,
et parfois utiliser du détergent
puis la rincer encore
l'essorer encore...

C'est désagréable.
Très désagréable.

De plus je consommais de l'eau,
de l'énergie,
des détergents,
mon temps,
mon énergie
et une partie de ma bonne volonté.

Tout ça pour un objet qu’on arrive jamais à nettoyer correctement
et qui s’avère être un nid à bactéries.

Alors on en change.
Souvent.

Vous me direz
elles sont si peu chères que c'est faisable.

Et vous avez raison :
en les achetant par lot, le coût unitaire est d'environ 50 centimes d'euro.
50 centimes par semaine, 26 euros par an, ça va.

Oui ça va si on se focalise sur le budget.
Mais, allons plus loin...

Le procédé de fabrication d’une éponge est très énergivore.
Il faut assembler et maintenir ensemble de nombreux éléments issus de la pétrochimie : pigment, plastifiant, charge abrasive, colle, fibres synthétiques...
De plus il y a une impossibilité de recyclage.

Alors jeter à la décharge,
toutes les semaines,
un objet aussi coûteux en énergie et ressources pétrochimiques,
ça ne va pas du tout.

C'est juste une éponge me direz-vous.
Oui, juste une éponge.
Par foyer.
Par semaine.
En France, il y a 29 millions de foyer.
Cela représente 1 milliard 500 millions d'éponges jetées !

Un milliard et demi.
Chaque année.
En France.

Personnellement ça me pose un problème.

Je préférerais éviter ce mode de consommation : fabriquer jeter fabriquer jeter fabriquer jeter...

J’aimerais limiter mon impact sur le monde.
Ce monde que j'habite aujourd'hui n'est pas qu’à moi, il est aussi aux générations futures et même aux autres espèces vivantes.

Mais comment faire ?

J'ai commencé à chercher.
Pour tout vous dire, j’adore ça : résoudre des problèmes, trouver des solutions.
Et j’aime aussi les solutions simples, efficaces, fluides.

J’ai d’abord pensé à des matériaux absorbants mais réutilisables, lavables…
Je n’étais pas satisfait car même si le problème de surconsommation se posait moins, restait le problème de la saleté, du côté désagréable de l’ustensile utilisé qu’il faut nettoyer tant bien que mal.

Puis j’ai envisagé un système de raclette.
Dans un premier temps c’était un simple morceau de barquette type barquette de viande.

Et là c’était pas mal.

J’ai donc cherché d’autres matériaux.
Rigides.
Puis souples.
Puis le polypropylène s’est imposé comme un choix évident.

J’ai testé différentes épaisseurs avant de valider celle-ci.

Et ensuite la forme.
Liée aux fonctionnalités… un peu comme les créations du Bauhaus, toutes proportions gardées.

Puis les dimensions.

Des centaines de dessins,
des dizaines de prototypes.

Pendant plusieurs années, toutes ces formes, ces matériaux ont été testés en famille.
Gaspard, Vadim, Barthélémy, les utilisant, les critiquant…
Et moi qui les observait pour trouver des améliorations.

Et, petit à petit nous en sommes arrivés au Kleanyz
il est le fruit d’une réflexion consécutive à un problème qui nous concerne tous,
il est le résultat de recherches faites dans une ambiance familiale empreinte de bonne humeur et de bienveillance,
mais cette réflexion et ces recherches sont animées par une volonté farouche d’arriver à un résultat optimum pour résoudre le problème de départ.

Aujourd’hui, dans la famille, plus personne ne se passe du Kleanyz pour débarrasser et pour d’autres petites tâches.
Il est prêt !

Alors, je suis très heureux de partager avec vous le Kleanyz,
j’espère qu’il vous plaira,
qu’il vous sera utile,
qu’il facilitera certaines de vos tâches domestiques,
qu’il vous permettra d’économiser de l’argent,
tout en préservant notre belle planète.

Je vous souhaite le meilleur,
Thierry Santoni